Être propriétaire, combien ça coûte ?
Avoir sa propre maison suscite de la fierté et un sentiment de réussite. Devenir propriétaire est une facture qui devient de plus en plus chère.
Cela est dû aux prix exorbitants des logements ainsi aux charges supplémentaires. Il faut tenir compte de l’entretien de l’habitation, du remboursement éventuel du prêt hypothécaire, de l’assurance et de l’impôt foncier. Ce des facteurs qui font flambée les frais liés à l’acquisition d’un immeuble. Quels sont les frais réels pour être propriétaire ? A combien revient une propriété ? Quelle est la responsabilité financière en matière immobilière ?
La part des coûts initiaux
La mise de fonds, à l’acquisition d’une maison, n’est point l’unique dépense initiale. Pour se mettre à l’abri des surprises désagréables, il faut prendre en compte les dépenses immédiates éventuelles. Les frais à engager concernent les commissions de courtage. Elles s’appliquent lors des ventes de maison impliquant un agent immobilier. Les droits de mutation immobilière entrent aussi en ligne de compte. Ces droits sont exprimés suivant un pourcentage appliqué sur le prix d’achat. Ils sont payables généralement par l’acheteur d’une propriété aux autorités administratives locales. Les frais sont calculés à partir des frais d’inspection.
Ces frais reviennent à l’inspecteur professionnel qui a aidé à cerner les difficultés potentielles ou les réparations éventuelles. Ces frais permettent de confirmer l’état réel de l’habitation. Les frais d’évaluation sont versés au prêteur hypothécaire. Ce dernier évalue la propriété à acheter pour être sûr que la valeur d’acquisition de l’immeuble ne soit pas supérieure au montant du prêt. L’acheteur assume ces genres de frais. Les frais de notaire et ceux de clôture sont exigés pour bénéficier des services d’un notaire ou en matière de transaction. Il faut tenir compte aussi des frais de déménagement payés au déménageur ou en cas de location de camion. Certains frais additionnels sont associés à une nouvelle habitation. Il peut s’agir de l’acquisition d’appareils ménagers, aux rideaux, à la peinture, à la clôture, à l’éclairage et à la climatisation.
Une exigence de dépenses récurrentes
En dehors des coûts ponctuels relatifs à l’achat d’une habitation, il est nécessaire de prendre en compte certaines obligations financières. Le possesseur des clefs doit prévoir le remboursement du prêt hypothécaire. Ce remboursement représente une dépense importante. L’impôt foncier est payé de façon périodique à la municipalité directement ou par combinaison avec des remboursements hypothécaires. Les frais liés aux services publics sont payés par le possesseur. Ce sont des frais liés au chauffage, au téléphone, à l’électricité, à l’eau et au câble. Les primes d’assurance-habitation permettent de se prémunir de façon adéquate contre le vol et le feu. Cette assurance responsabilité civile est adéquate.
L’autre assurance est celle de l’hypothèque. Elle protège la famille et l’investissement contre les effets des paiements hypothécaires en cas de décès ou de maladie grave. Les frais de condominium sont fixés par le syndic de copropriété. Ils s’appliquent à une habitation en rangée ou à un condominium.
L’entretien du bien immobilier
Certains coûts sont liés à l’entretien général. Posséder une habitation exige les coûts de l’enlèvement de la neige, de l’entretien de l’immeuble et les soins exigés pour la pelouse. Le bon entretien d’une habitation augmente en réalité la valeur marchande de la propriété.
Un plan financier tient compte des coûts initiaux et des dépenses récurrentes. Il doit être réalisé avant de se lancer ardu dans un projet d’achat immobilier. Il est nécessaire de prendre en compte les frais non négligeables fixés par le syndic de copropriété. Le détenteur de biens immobiliers en omettant de prendre en cas ces frais se retrouve à la fin du mois avec des mensualités de remboursement élevées. On est appelé à comprendre que l’acquisition d’un immeuble ne se résume point à un simple financement le bien en lui-même. Tout cela est nécessaire pour avoir une bonne connaissance de la gestion de votre bien immobilier.